Il y a un mois et demi, le groupe de recherche TOR de la Vrije Universiteit Brussel (VUB) et en coopération avec les spin-off hbits de la VUB ont lancé une enquête sur l’emploi du temps pendant la crise du coronavirus. L’enquête vise à étudier la manière dont les gens gèrent la disparition des structures temporelles et des routines, ainsi que l’amalgame des différentes sphères de la vie à la maison. Les premiers résultats ont révélé que l’inégalité existante entre les sexes dans l’utilisation du temps n’a pratiquement pas changé. Les hommes disposent de plus de temps libre, tandis que les femmes continuent de s’occuper davantage des tâches domestiques. Une occasion manquée selon les sociologues Ignace Glorieux et Theun Pieter van Tienoven, surtout si l’on considère que nous passons quatre heures de plus par jour à la maison par rapport aux données sur l’emploi du temps antérieures à la crise. Les conclusions ont été rapportées par LaLibre Belgique, Paris Match, 7sur7, et RTBF.
Appel à participation. Le groupe de recherche TOR de la VUB et le VUB spin-off hbits étudient les conséquences sociales de la crise du coronavirus. Quelles sont les conséquences pour votre vie quotidienne ? Ce sont les premiers résultats de 661 Belges qui ont accompli 3 500 jours d’agenda. Plus les gens participent, plus les résultats sont fiables. Participez à cette étude et dites-nous comment votre vie quotidienne a changé via www.laviequotidienne.eu.